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A l’occasion de leur premier passage en France et dans le festival Japan Expo où ils ont réalisé des performances exceptionnelles, soutenus par un public en folie, nous avons rencontré les PSYCHIC FEVER avec l’équipe de J-Music Concert. Les garçons, passionnés par la musique, sont prêts à conquérir le monde et nous le font savoir ! Découvrez cette rencontre en toute intimité !
Bonjour ! Tout d’abord félicitations ! Aujourd’hui est un jour spécial puisqu’il s’agit de votre deuxième anniversaire.
PSYCHIC FEVER : [en français] Merci !
Pouvez-vous commencer par vous présenter en tant que groupe et individuellement ?
PSYCHIC FEVER : [en français] Bonjour, nous sommes PSYCHIC FEVER from EXILE TRIBE !
Jimmy : [en français] Bonjour, je m’appelle Jimmy.
Ryoga : [en français] Je m’appelle Ryoga.
Weesa : [en français] Je m’appelle Weesa.
Kokoro : [en français] Je m’appelle Kokoro.
Ryushin : [en français] Je m’appelle Ryushin.
Ren : [en français] Je m’appelle Ren.
Tsurugi : [en français] Je m’appelle Tsurugi.
Pouvez-vous nous parler de votre style musical ?
Weesa : En un mot, je pense qu’on est très varié, différent et varié. Au niveau des musiques, nous essayons de ne pas nous focaliser uniquement sur un style. Nous essayons de faire un peu de tout parce que c’est intéressant. De temps en temps nous suivons la tendance et de temps en temps nous apportons quelque chose de plus ancien. On est très varié, aussi bien au niveau du style qu’au niveau des personnalités.
Est-ce que vous décidez du style musical d’une chanson entre vous ?
Weesa : Effectivement. On a beaucoup d’équipes qui travaillent pour nous mais elles ne nous donnent pas forcément de directives. C’est plus une grande conversation tous ensemble. Par exemple, le dernier EP qu’on vient de sortir s’inspire beaucoup de la J-pop. Cela a été décidé ensemble. On a tous mis la main à la pâte.
Vous avez sorti le tube Just Like That il y a cinq mois et plus récemment la chanson Bee-po, est-ce que vous pouvez nous parler de votre processus créatif ?
Jimmy : Pour Just Like That, la plupart d’entre nous était en Thaïlande. Nous n’étions que trois au Japon. On a dû prendre l’avion pour enregistrer le son avec un producteur. Cela nous a demandé beaucoup de travail et d’effort. Quant à Bee-po, c’est un peu la consécration de notre vécu en Asie car on est quand même sorti du Japon. Cela a été créé sans frontières.
Parlez-nous de votre future tournée asiatique ?
Ryoga : On vient de finir la tournée japonaise qui s’est très bien passée. On va ensuite entamer notre tournée en Asie avant d’aller aux Etats-Unis prochainement. Ce qu’on aimerait à l’avenir, c’est de nous exporter encore plus. On est aussi très honoré d’être là en France en ce moment-même et on espère revenir en Europe.
En parlant de ça, y a-t-il un artiste japonais ou international avec lequel vous souhaiteriez collaborer ?
Weesa : On aimerait avoir une collaboration avec Aya Nakamura. On l’a découverte il n’y a pas longtemps et depuis qu’on est en France, on n’arrête pas d’entendre ses sons. Elle est vraiment très col donc j’aimerais bien collaborer avec elle.
On vous le souhaite !
Weesa : En plus elle a un nom japonais, donc nous nous sentons proches d’elle !
Quelle chanson de votre discographie représente le mieux l’esprit de PSYCHIC Fever ?
Kokoro : Just Like That !
Pourquoi ?
Kokoro : Parce que c’est le son qui nous a propulsé à l’international. Ce titre est sorti en janvier et a été produit par JP The Wayby. Il a été énormément partagé sur les réseaux sociaux et a fait un buzz. Je crois que c’est grâce à Just Like That qu’on est là aujourd’hui et on ne peut qu’en être fiers !
La danse représente une partie importante de votre travail. Participez-vous aux chorégraphies ?
Ryoga : Cela dépend, on fait les deux. On peut créer nos chorégraphies nous-mêmes ou on peut aussi faire appel à des chorégraphes pour qu’ils modifient nos créations ou qu’ils créent eux-mêmes une chorégraphie.
Parlez-nous de vos futurs projets !
Ryoga : Comme annoncé précédemment, on a une tournée asiatique prévue, mais on ne va pas rester en Asie du Sud-Est. On va essayer de partir à la conquête du monde et de se rapprocher des fans via notre musique et nos performances. On aimerait que les fans internationaux nous suivent dans nos aventures.
Lorsque vous ne travaillez pas, qu’aimez-vous faire de votre temps libre ?
Jimmy : Avec Ryoga, on fait du beat. Le seul moment qu’on a pour travailler nos beats, ce sont nos jours de repos. Weesa écrit les paroles. On essaye de contribuer à Psychic Fever même sur nos jours de repos.
Kokoro : J’aime m’entraîner ou je me perfectionne au niveau du chant. J’aime aussi apprendre des langues étrangères.
Weesa : On regarde aussi beaucoup d’anime et de films.
Ryushin : J’aime aussi jouer aux jeux vidéos.
Un anime à nous conseiller ?
Weesa : J’adore JoJo. C’est mon anime de prédilection.
Avez-vous un quartier à nous recommander ou un plat à déguster si notre équipe partait au Japon ?
Tsurugi : A Tokyo, il y a un quartier qui s’appelle Nakameguro. C’est une station. Il y a énormément de commerces fondés par notre agence, LDH. Il y a des cafés, des boutiques de prêt-à-porter, des sushi, des yakitori qui sont très bons. On peut y manger, s’y balader. Et on est aussi là ! Venez à Nakameguro.
C’est votre première fois à Paris, qu’attendez-vous de ce passage ?
Weesa : Hier on a eu la chance de faire un workshop de danse et on a vu que le public français était assez chaud et passionné. On a senti la passion et l’amour des fans. Aujourd’hui c’est la première fois qu’on se produit sur scène en France, ce qu’on attendait depuis longtemps. On aimerait transmettre notre passion pour la musique et peut-être nous faire connaître en France également.
Nous avons demandé aux fans sur les réseaux sociaux de vous poser deux questions et nous avons reçu des questions des fans du monde entier ! Tout d’abord, avec quel senpai de EXILE TRIBE souhaitez-vous collaborer ?
Jimmy : Il est vrai qu’on a toujours été obnubilé par EXILE et c’est pour cela qu’on fait partie de EXILE TRIBE, mais nous n’avons jamais collaboré avec eux. Alors on aimerait vraiment collaborer ensemble !
Pour finir, quel a été le moment le plus marquant de votre carrière ?
Kokoro : Il n’y a pas de moment plus marquant qu’un autre car cela va crescendo, de plus en plus fort, de mieux en mieux. Plus on fait de scènes, plus c’est mémorable. C’est grâce à cela qu’aujourd’hui est aussi un moment marquant. On est à Paris et on voulait s’y produire depuis longtemps. On a deux performances aujourd’hui qui vont être décisives pour nous. On a juste hâte que le public français nous découvre !
Un grand merci à LDH et aux PSYCHIC FEVER from EXILE TRIBE pour leur temps, ainsi qu’à Japan Expo pour l’accréditation et à J-Music Concert pour la collaboration.