Un tiers a réussi à prouver que l’agression de Maho Yamaguchi était en parti due à des déficiences dans le management de NGT48 qui ont favorisé les conditions pour qu’une agression se produise.
Le comité a conclu que le management n’avait pas instauré de règles propres ou des standards que le groupe aurait pu suivre.
Aucun des membres des NGT48 n’a immédiatement été impliqué dans l’agression. Cependant, certaines des filles avaient des liens particuliers avec certains fans jusqu’à les autoriser à leur rendre visite dans leurs dortoirs.
Tandis que ces relations entre fans et artistes semblent inappropriées, l’enquête n’a pas mis en cause les membres. Etant donné que le management n’a stipulé aucune règle, les filles ne sont pas directement en tord.
Au total, 12 filles ont révélé entretenir des relations inappropriées avec des fans.
Réajuster les mesures de sécurité devient donc la priorité pour l’agence de NGT48, y compris instaurer des systèmes de sécurité au sein des dortoirs du groupe.
Les filles qui entretiendront à l’avenir des relations malsaines avec des fans ou qui se risqueront à mettre en péril la cohésion du groupe se confronteront donc à une réglementation stricte et devront en assumer les conséquences.
Source : jpopasia